Jakarta (3)

Jakarta (3)

Ce jour-là, je rêve
que Jakarta soit être
qui s’est jetée par terre.
Elle est tenue par le temps et l’espace,
l’espace pour s’étraindre,
le temps pour se signifier dans l’histoire.
Elle a un passé chargé,
elle est un présent,
aussi elle a eu par un avenir.

Quand je rêve,
Je repete rêver et contiue à rêver,
si Jakarta soit comme un humain.
Elle ait 17 ans,
elle se prenne conscience,
pour se sentir,
pour reflechir,
pour se démentir.
Elle soit être-pour-soi.
Elle soit au début de l’adolescent,
qui cherche sa personnalité,
son identité,
son individualité,
qui veuille donner un sens à sa vie,
sur vivre pour chercher lourd de sens.

Jakarta désire être Dieu.
Elle ne veuille pas de sa vie
devienne routinière et vide.

Actuellement, elle ne sent rien
d’autre que seule.
Sa vie soit routinière et vide.
Malgré qu’il y ait beaucoup d’hommes
habitent avec elle.
De toute façon, elle veuille convenir à Dieu de soi.
D’ailleur Dieu soit parfait,
il soit être-pour-soi,
qui ait la conscience,
et il soit être-en-soi,
qui soit parfait.
Il soit l’essence comme à l’existence.
Qu’est-ce qu’il y a possible
que Jakarta deviendrait parfait ?

L’inné de Jakarta soit être-pour-soi.
Elle ne soit pas possible devenir être-en-soit,
car si on dise ça,
sa conscience disparaitra.
Seulement, elle deverra quelque chose,
qui ne peut pas changer,
car elle était parfaite.

Tout à coup, je sors d’un profond sommeil,
considere que Jakarta est toujours Jakarta.
Son rêve de devenir Dieu après de soi
est seulement l’hallucination.
Elle ne peut rien devenir
aussi bien être-pour-soi
que être-en-soi.
Bien qu’elle continue à chercher
la signification de sa vie.
Le processus consistant à faire d’existence
est le seul processus d’absurdité.
C’est impossible.
La vie est la chaine de la realité,
qui doit lui donner un sens.
Finalement, je comprends
pourquoi Jakarta a la realité d’absurdité.
Il faut qu’avoir la pitié de Jakarta !

[www.wired.com]

Kampung Ambon, Jakarta de l’east
Jeudi, 3 Novembre 2005
airdara